Traditionnellement, UCM questionne les chefs de PME wallonnes et bruxelloises sur la santé de leur entreprise. Le baromètre UCM, c’est véritablement le pouls trimestriel qui donnera le « la » des enjeux futurs. Mettons le focus sur certains des chiffres de ce baromètre « 4e trimestre 2021 » analysés par Charlie Tchinda, économiste et statisticien au service d’études UCM.
Pendant le 4e trimestre, le monde économique a été mis au devant d’une vague de contaminations (omicron) qui a étouffé l’activité. A cela s’ajoutent des difficultés d’approvisionnement, des coûts prohibitifs des énergies et une pénurie de main d’oeuvre… Voilà pour les constats avec lesquels les chefs d’entreprise doivent composer.
Perspectives à trois mois
Vingt-six pourcent des chefs de PME estiment que leur activité va reculer au cours du premier trimestre 2022. Le chapitre de la rentabilité n’est guère plus optimiste. Près de quatre chefs de PME sur 10 déclarent que les bénéfices et/ou la rentabilité vont diminuer.
Permettre un redéploiement
Les derniers comités de concertation ont tracé la voie vers une ouverture complète pour les secteurs encore contraints à la fermeture. Il faudra cependant maintenir les dispositifs de soutien aux indépendants et chefs de PME jusqu’à un retour à la normale dans l’ensemble de l’économie.
Ce scénario permettra de prévenir des faillites en cascade pour des entreprises dont la trésorerie reste exsangue.
Pour prendre connaissance de l’entièreté du « Baromètre UCM PME Wallonie-Bruxelles», cliquez sur ce lien.
L'auteur.e de cet article
- Chargée de Communication chez UCM depuis 2009 et aujourd'hui responsable de la communication politique. Je veille à mettre en lumière le travail et l'expertise des conseillers du service d'études, toujours au service des entreprises wallonnes et bruxelloises.